Décidément, l’ère Macron ne sourit pas trop à nos amis Français. Sur le marché, les prix ne cessent de flamber et les portefeuilles accusent le coup. Mais ce n’est pas tout, car des problèmes, il y en a bien d’autres…
A un moment, Macron en grand stratège qu’il voulut paraître, s’est lancé dans une série de réformes qui n’ont pas donné les résultats escomptés. Et d’ailleurs, la plupart de ces réformes n’avaient pas l’approbation de la majorité des français qui trouvaient que cela ne bénéficiait qu’à une certaine classe de la société, ceux qui ont déjà franchi le Rubicon, la classe aisée. Ce qui a fait dire à certains citoyens français que Macron n’était que le président des riches.
L’homme n’a pu décrocher un second mandat que grâce au même scénario du premier, la menace de l’extrémisme prônée par madame Le Pen qui risquait de franchir en victorieuse la ligne d’arrivée à l’issue des scrutins. Si cela arrive, les français n’auraient fait que plonger dans l’inconnu avec plus ou moins de risques que aventure comportait. On peut donc affirmer que Macron est un président élu par défaut, car sans le coup du sort qui s’est acharné sur François Fillon éclaboussé par maints scandales et éliminé avant le 1er tour et la menace de l’ogre M. Le Pen au second, il n’aurait pu accéder à l’Elysée.
Même scénario lors de sa réélection aux secondes présidentielles, M. Lepen toujours en embuscade, mais redoutée par l’électorat.
Pour revenir aux difficultés quotidiennes rencontrées par les français, ces derniers se trouvent pris à la gorge par l’envolée spectaculaires des prix des produits de première nécessité à tel point qu’on ne sait plus où donner de la tête, ni à quel saint se vouer. Le contenu du panier de la ménagère se rétrécit de mois en mois, sinon de jour en jour, comme peau de chagrin. Et l’augmentation des prix ne fait que suivre une courbe ascendante au grand dam des français.
Si la femme n’a rien à manger et qu’elle arrive à trouver quelque chose à mettre dans l’assiette des enfants, cela peut passer, a dit une française à la presse. Mais, quand il n’y a rien du tout, que peut-elle faire d’autre, sinon se révolter ? ».
Dans ces conditions, le scénario des gilets jaune risque de se répéter à l’avenir si la situation n’évolue pas, car presque tous les français sont sur des charbons ardents.
Si l’on en compte dans toute l’histoire de la France moderne, la manifestation catastrophique des gilets jaune s’illustre comme l’une des principales, tellement elle a secoué Macron et son gouvernement. Et la répétition d’un tel scénario est à craindre.
Même si la flambée est générale sur la planète en ce moment, elle s’illustre avec plus d’acuité dans la métropole, car les prix, comme pris de folie, galopent de manière vertigineuse et sans frein.
Et au problème, tout le monde attend la riposte de l’État qui tarde à venir. Si jamais, elle vient.
Enfin, même si cela n’est pas le but de notre article, un mot sur le bilan du président Macron. Ajouté à cette page noire que vivent ses concitoyens, une politique étrangère catastrophique qui s’avère être un fiasco, un cinglant fiasco, avec le volte face des ex colonies qui ne veulent plus sentir l’odeur des français. Et cette révolution noire restera indélébile et s’inscrira en lettres d’or sur les pages de l’histoire jusqu’à la fin des temps. Sans compter l’affaiblissement de la France sur l’échiquier européen et mondial. Car la métropole n’a plus son rayonnement et l’aura qu’elle dégageait au temps de ses prédécesseurs qui, à part François Hollande, ont su imprimer un rythme au pays. A noter que même Hollande, hormis ses déboires économiques, a su mener de fort belle manière sa politique étrangère
A vouloir danser avec frénésie sur une piste de danse, on risque d’indisposer ceux qui vous accompagnent.
Ben Diakité de Balzac